Par la présente, je vous signale mon grand étonnement sur le sort qui m'a été réservé dimanche 08/06/25 et que voici:
22h30, quelqu'un qui a réussi à pénétrer dans la copropriété frappe à ma porte sans appel préalable. Stupéfaction: 4 policiers, 2 ambulanciers et 1 médecin SOS médecin, ont été dépêchés à mon domicile par le médecin régulateur du Samu, pour m'emmener de force aux urgences psy de l'hôpital de Perpignan. Je suis sanglé dans l'ambulance et vais passer la nuit jusqu'à 6h00 du matin à l'hôpital sans fermer l'oeil...
Motif invoqué : demande express de la fille et de la femme du patient, qualifié d'agressif, de risque de mise en danger et de rupture de traitement.
Question 1: Savez vous que ma fille domiciliée à Nîmes et suivie pour troubles psy intenses depuis plusieurs mois et chroniques depuis l'adolescence, a eu son dossier de diagnostic de Bipolarité accepté à l'hôpital de Montpellier spécialisé ?
Question 2: Savez vous que madame et monsieur sont en instance de séparation, et séparés de corps depuis 3 semaines ?
Question 3: quels sont les critères, autres que le simple témoignage d'un tiers fusse t-il membre de la famille, qui suffisent à une telle débauche de moyens un dimanche de fête à 22h30 plutôt que le lendemain tranquillement ? Quel est le coût financier de cette intervention pour la communauté (police nationale, ambulanciers, SOS médecin), pour un rapport d'urgence qui fait pshittt au final?
Question 4: A quel moment le dossier médical psy du patient, suivi longitudinalement par le médecin psychiatre Mr le docteur Salmi, 1 fois par mois en temps normal, et 1 fois par semaine depuis l'annonce de la séparation, est étudié et pris en compte ?
Question 5: Quelle autorité en droit a le régulateur du Samu, pour décider seul, et ordonner au patient placé sous escorte policière, sa consultation en service d'urgence psy ?
Vous me permettrez de douter de ces méthodes de cowboy, qui non seulement placent le patient dans un état émotionnel compliqué, mais surtout font peser des dégâts collatéraux colossaux sur la cellule familiale déjà fragilisée.
Je vous remercie de vos réponses et me réserve le droit d'étudier toutes actions appropriées.
10/06/2025
Par la présente, je vous signale mon grand étonnement sur le sort qui m'a été réservé dimanche 08/06/25 et que voici: 22h30, quelqu'un qui a réussi à pénétrer dans la copropriété frappe à ma porte sans appel préalable. Stupéfaction: 4 policiers, 2 ambulanciers et 1 médecin SOS médecin, ont été dépêchés à mon domicile par le médecin régulateur du Samu, pour m'emmener de force aux urgences psy de l'hôpital de Perpignan. Je suis sanglé dans l'ambulance et vais passer la nuit jusqu'à 6h00 du matin à l'hôpital sans fermer l'oeil... Motif invoqué : demande express de la fille et de la femme du patient, qualifié d'agressif, de risque de mise en danger et de rupture de traitement. Question 1: Savez vous que ma fille domiciliée à Nîmes et suivie pour troubles psy intenses depuis plusieurs mois et chroniques depuis l'adolescence, a eu son dossier de diagnostic de Bipolarité accepté à l'hôpital de Montpellier spécialisé ? Question 2: Savez vous que madame et monsieur sont en instance de séparation, et séparés de corps depuis 3 semaines ? Question 3: quels sont les critères, autres que le simple témoignage d'un tiers fusse t-il membre de la famille, qui suffisent à une telle débauche de moyens un dimanche de fête à 22h30 plutôt que le lendemain tranquillement ? Quel est le coût financier de cette intervention pour la communauté (police nationale, ambulanciers, SOS médecin), pour un rapport d'urgence qui fait pshittt au final? Question 4: A quel moment le dossier médical psy du patient, suivi longitudinalement par le médecin psychiatre Mr le docteur Salmi, 1 fois par mois en temps normal, et 1 fois par semaine depuis l'annonce de la séparation, est étudié et pris en compte ? Question 5: Quelle autorité en droit a le régulateur du Samu, pour décider seul, et ordonner au patient placé sous escorte policière, sa consultation en service d'urgence psy ? Vous me permettrez de douter de ces méthodes de cowboy, qui non seulement placent le patient dans un état émotionnel compliqué, mais surtout font peser des dégâts collatéraux colossaux sur la cellule familiale déjà fragilisée. Je vous remercie de vos réponses et me réserve le droit d'étudier toutes actions appropriées.